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SHARK RESEARCH : Opal & Silver Coasts (EU) est un programme de recherche axé sur : l'étude des SQUALES (richesse, diversité, écologie écosystémique, comportement psychologique, migration...), leur conservation, leur maintien, et leur restauration sur deux zones maritimes françaises : 1) la Côte d'Argent (zones basque et sud-landaise), et 2) la Côte d'Opale, de la Flandre maritime jusqu'à la Baie de Somme. L'étendue en mer va du littoral vers la haute mer, soit au-delà de la limite des 200(230) miles nautiques. L'accent est mis sur la bande de la ZEE proche de la côte, mais la haute mer n'est pas négligée pour autant, car les requins grands migrateurs (grand requin blanc, requin tigre, requin océanique...) sont aussi étudiés. Géologiquement parlant, on trouve une chaîne de canyons au sein d'un plateau continental pour la zone aquitaine sud, des bancs et un détroit pour la zone septentrionale.

Depuis des décennies, plus sûrement un siècle voire davantage, tous les requins, dans toutes les mers, sont victimes de la pression anthropique forte et constante (assurément croissante). Les causes majeures de ce déclin sont : la démographie humaine, ce qui implique une demande en énergie d'origine alimentaire toujours plus forte par simple effet multiplicatif. Une pression humaine qui décroît inexorablement la population et la diversité (biologique) de toutes les espèces d'élasmobranches.

L'une des tâches de ce programme, pluridisciplinaire et unique dans son approche, est d'obtenir l'inventaire le plus complet possible pour les requins existant, ou transitant, sur les deux zones retenues. S'y ajoute l'aspect essentiel de l'analyse de leur écologie. Les espèces migratrices, enregistrées en tant que telles par les "officiels", sont particulièrement étudiées, et sont donc  marquées autant que faire se peut. Avec une forte probabilité, il s'avère que pratiquement toutes, voire toutes les espèces de squales, sont migratrices.

500 millions d'années : telle est la durée que les requins, top prédateurs des océans, ont  mis pour façonner, construire, maintenir et conserver de façon si remarquable la diversité biologique que l'on peut encore trouver aujourd'hui sur certains sites des mers du globe. Une biodiversité malheureusement bien dégradée et fortement mise à mal. Comparée à la durée depuis la naissance de l'homme moderne (Homo sapiens sapiens), elle lui est 3 500 fois supérieure, voire plus. L'écosystème SQUALE a donc largement fait ses preuves et, à ce titre notamment, il représente le maillon indispensable, névralgique, de l'équilibre écologique de la Terre ENTIERE. Ainsi,

ne pas restaurer l'écosystème REQUINS a pour effet à terme

un écocide planétaire, océanique,

qui se caractérise par le déséquilibre global de

TOUTES les espèces marines,

ainsi que l'apparition de zones mortes,

sinon l'effondrement des espèces prises dans leur totalité.

 

Tous les requins, sans exception, construisent les océans, cette Biosphère océanique.Et comme le dit l'adage,

pas de requins, pas de poissons.

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SHARK RESEARCH Opal & Silver Coasts (EU) collecte et analyse et évalue toute information "requins" sur les zones retenues et, comme dans tout travail de recherche, étend cette prospective et  tente d'en obtenir bien d'autres sur l'écologie de ces élasmobranches. L'étude s'intéresse aussi aux autres espèces car, par nature, les requins interagissent fortement avec elles dans toutes les dimensions du réseau trophique marin existant.

Le programme fait appel à des sorties en mer, soit pour effectuer de l'observation classique (secondaire), soit pour y pratiquer du marquage de requins (prioritaire), en mode No-Kill, Catch-and-Release, dans le respect le plus absolu des espèces capturées, tout en assurant la survie des requins et la sécurité des personnes à bord.

SHARK RESEARCH Opal & Silver Coasts (EU) s'appuie sur les meilleures techniques pratiquées par la communauté scientifique, ou par les pêcheurs au gros ("Game Fishing", "Sharking"). Les sorties en mer peuvent s'effectuer toute l'année, de jour, et de nuit après "acclimatation" de l'équipage. Les tags (marques) utilisés comprennent des balistes satellites relayées par le segment ARGOS. Il n'y a pas de limite supérieure pour la taille des requins marqués.

Les activités annexes du programme SHARK RESEARCH comprennent :  la lutte contre tout trafic d'espèces vivantes (TRAFFIC), la lutte contre la pratique illégale de la pêche, le "shark-finning", le "shark cull", ... toutes pratiques qui dérégulent et détruisent l'écosystème planétaire et marin, par une cascade trophique. Des coopérations avec des organismes scientifiques étrangers peuvent voir le jour, dans la limitet du droit international. Il peut être fourni grâcieusement des informations autres au profit d'associations, telle que l'observation de cétacés. Sur le bateau, au cours des missions, il est demandé à l'équipage la sauvegarde d'espèces telles que les mammifères marins les tortues, les requins aussi lorsqu'ils  sont pris accidentellement dans des filets de pêche. Mais tel n'est pas le cas lorsque des requins s'alimentent sur un animal, car le programme n'entrave pas les lois de la Nature.

​SHARK RESEARCH Opal & Silver Coasts (EU) est limité dans l'espace, mais pas dans le temps : il durera moins jusque 2050. Financièrement, il est sans profit, et n'obtient aucune rémunération ou subvention de toute nature. Il reste sous les sceaux  du secret, de la confidentialité et de l'éthique qui sont en usage en matière de recherche scientifique. Son financement diffère selon qu'il est d'ordre personnel ou par le biais de financements participatifs ("Crowdfunfing"). Pour ces derniers, chaque financeur se voit attribuer un code personnel, à durée limitée, lui donnant accès à des informations privées sur le présent site (photos des sorties mer, factures détaillées, probables publications scientifiques du programme offertes, invitations, ...).  Unipersonnel, le programme fait appel au volontariat, hormis les frais de sortie mer qui sont pris en charge par le programme. Le matériel de pêche au gros est acheté par SHARK RESEARCH Opal & Silver Coasts (EU) dont il en reste propriétaire, compte tenu des hautes spécificités techniques exigées pour la capture de requins, de son coût,  et de son type de financement.

Je vous remercie de votre visite, comme je remercie ceux et celles qui contribuèrent et contribuent financièrement à ce programme de recherche, pour qu'il naisse et vive de façon pérenne.

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SHARK RESEARCH : Opal & Silver Coasts (EU) is a Research Program  dedicated to the study of the richness, the diversity, the ecosystem ecology, the psyche behavorial, the sustain, the migration, the conservation and, ideally, the restauration of the SQUALE ecosystem within two marine areas in the french district : the Silver Coast (for the basque and south of Landes areas) on the one hand, the Opal Coast on the other. Extending the program offshore beyond the 200 nm limit of the EEZ (Exclusive Economic Zone) is part of the program, i.e., from the shore, hence including a chain of canyons in the south area of the investigation, a large set of banks and the Channel (partly) in the north area.

Since many decades, and even very likely one century and more, all sharks, in all the oceans of Earth, were killed in a large amount because of the strong and constant (more appropriately, growing) human pressure : the human demography grows everlastingly, and its demand in food energy correlates. This human pressure drastically damages the population as well as the biologic diversity of every elasmobranch species, or the whole Aquasphere.

The approach of SHARK RESEARCH is unique : interlinking many science disciplines, its goal and view is to perform a SHARK inventory as exhaustively as possible or needed, for sharks either living, transiting, or migrating in these waters. Migrating shark species, including high sea species such as Great White Shark, Tiger Shark Oceanic Shark among others, will be emphasized in the program, and tagged (M tags, sat tags).

500 million years : this is the time period the sharks, commonly referred sometimes to top predators, spent time to build, create, and maintain optimally an outstanding biological diversity in the oceans and seas : the Aquasphere and the Biosphere. Compared to the duration since the birth of modern humankind (Homo sapiens sapiens), it is 3,500+ times more. So, the SQUALE ecosystem has largely proved the benefits offered to Earth as a whole, hence being the main, essential, and unique link in the biological chain. So,

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not restauring the SHARK ecosystem gives the following results :

a planetary ecocide, with a global imbalance on Earth,

the occurence of ocean dead zones, and

possibly the collapse of every marine species.

 

All sharks, no exception, built teh oceans the oceanic Biosphere. As the saying goes,

 

no shark, no fish.

 

SHARK RESEARCH Opal & Silver Coasts (EU) investigates each "Shark" information for both retained marine areas. This is the case as in every Research project. Besides, it tries to find many other ones about the ecology of the Elasmobranchs. The program also looks after other marine specie such as marine mammals and teleosts because, naturally, the sharks strongly interact with them, in all dimensions in the oceanic trophic network.

SHARK RESEARCH Opal & Silver Coasts (EU) leans on sea trips, either for simple observations (ancillary task), or for tagging sharks (primary task), with satellite tags to be put on the back of some - migratory - sharks but with M-tags most often ("financial concern"). It is done in a No-Kill/Catch-and-Release manner, keeping in mind due care and respect in the survival of the Sharks, as well as the safety of the crew and the boat. The best practice in Shark fishing is performed, in compliance with the scientific community or game fishers worldwide. Sea trips can be done every day of the year, and at night ultimately too.

Additional tasks of the SHARK RESEARCH Opal & Silver Coasts (EU) are : struggle against the living species trafic (TRAFFIC), struggle against the illegal fishing, the "Shark finning", "Shark cull"... every practice that negatively modify and destroy the Earth and oceanic ecosystems, by a trophic cascade effect. Besides, cooperating with foreign scientific organisations can positively occur, in due respect with the International Law, as well as kindly providing free of charge other informations to NGOs such as those working on Marine Mammals. At sea, it is also required to each member of the crew to act for the survival of Sea Mammals, Turtles, Sharks obviously, that are captured in fishing nets, except the case where Sharks are foraging, because the program doesn't counteract the laws of Nature, and shark conservation/restauration is a major goal of the program.

Thank you very much for your kind attention.